Une action d'éclat alors qu'elle ne méritait que de la discrétion : quand une soupe de phallanges se finit et même si l'on te traite de
"Moine Shaolin" de "Jacky Chan" ou "Tortue Ninja" on ne plaque pas un joueur sans ballon, on ne voit pas rouge.
Té en parlant de rouge...
COLLIOURE - EVAAP I
Laporte aurait dit :
"Pas d'en avant,
pas d'en avant,
pas d'en avant"
Thierry Henry aurait dit :
"La balle doit coller
aux doigts, puis on
la passe à droite"
L'entraîneur des poussins aurait dit :
"Trois tours de terrain"
EVAAP II-
PRATS
Pour le courage et l'abnégation
EVAAP I- CANOHES
EVAAP II- COLLIOURE
Le rugby se joue à....15 !!! Bravo !!!
La prochaine fois passe la gonfle, ça fera deux essais de plus pour nous et deux essais de moins pour les adversaires.
EVAAP II-
ES BAC
Le coup de pied à suivre nécessite un temps soit peu d'à propos et de vista. D'à
propos, car pourquoi se débarasser de la gonfle quand un décalage a été fait ? De vista, car quand l'adversaire se situe à 32,28 cm de soi....
Ni une ni deux, la baballe a été saisie au vol et a permis un essai remarqué après une course de 50 mètres. C'est vrai que personne n'était en couverture, comme quoi un coup de pied à
suivre..........
EVAAP I- RIVESALTES
Nous tenons notre Arconada !
Pour les nostalgiques ou les mécréants : http://www.rtve.es/mediateca/videos/20091106/error-que-supuso-eurocopa/623153.shtml
Bon ! allez ! la prochaine fois tu mettras de la colle et tu te tourneras vers ton camp, comme le font les
poussins.
PRADES-EVAAP I
Un cadrage débordement de cet acabit, jamais de mémoire on en a vu. Réussir à effacer un rendez-vous pour un déplacement avec cette dextérité, c’est rare !!!
Félicitations à Jean-Daniel ! Un esprit rugby de cette trempe ça mérite tout notre respect. Pour la troisième mi-temps avant la première il n’y a rien à dire. Pour ce qui est de partager les bons moments, c’est du professionnalisme de grande envergure. Pour participer à l’économie locale, il n’y a qu’un mot : chapeau.
En revanche… pour essuyer des assauts et faire corps avec les copains, il semblerait qu’une leçon n’ait pas été assimilée.
EVAAP II- VILLELONGUE
C’est un temps
que les moins de vingt ans
ne veulent pas connaître
C’est un temps
Où l’on se baissait
Quand l’adversaire
Présentait le bout de son nez
C’est un temps
Où l’on ouvrait
Quand trois copains attendaient
C’est un temps
Où l’on dégageait au pied
quand dans son camp uniquement
on était en infériorité
C’est un temps
Ou jamais, ô Grand Jamais,
La gonfle on s’en débarrassait
Quand on était en supériorité
C’est un temps
Où l’on ne faisait
pas une triple sautée
Pour les copains déjà sous la douche*
*On ne sait jamais !
Si l’on a besoin d'eux:
« Désolés, sommes déjà lavés !!! »
17-01-2010 : EVAAP I / TAUTAVEL
La punyeta n’a pas que du bon. Les Anciens (tel Casso-l’Ancien ou Didier-Alepok) le confirmeraient : ça rend sourd. Et bien, il est de notoriété publique depuis ce dernier week-end : Jean-François est un adepte de l’onanisme effréné. Sinon !!! Comment expliquer que le tonitruant « Lachez le ballon !!! » réitéré quatre fois par l’arbitre et entendu jusqu’au Belmatx* n’a pas été oui par le blondinet de service ? Surdité coupable puisque la pénélité qui suivit, permit à nos adversaires de la plaine d’inscrire leurs seuls points sur un essai.* L’origine étymologique de ce pic surplombant notre chère Arles est désormais reconnue. Il faut écrire Belmatx et non Belmaig. Faute à Bébert qui, autant adepte de chasse que de rugby, prenait à l’époque toujours le poste sur le piton rocheux surplombant la Fontaine des Buis. Pendant que les rabatteurs s’occupaient des Gorets sauvages, celui-ci regardait les parties d’Ovalie se déroulant en contrebas. Et parfois, admiratif du jeu arlésien, il lâchait une exclamation de contentement : « Oh !!! Bel match !!! Bel match !!! »
22-01-2010 : EVAAP
II / PRADES
Si le Moulin Rouge avait “Valentin le
Désossé“ l’EVAAP a “Didier la danseuse de French Cancan“.
Un superbe reprise de volée dans, non pas la gonfle (pourtant c’est elle qu’il visait », mais dans l’air, nous a permis d’admirer un jeu de jambes qui a inventé le Grand écart…
aérien.
Peut-être que son ancien surnom “AlepoK“ mériterait d’être muté en “Petit Rat de l’OpéRaté“ ?
17-01-2010 : PRATS / EVAAP I
N’est pas De Niro qui veut !!! Etre acteur est un métier !!!
Quand un des tretze vents ne souffle pas et qu’une giflette, que dis-je !!!, un soufflet vous effleure, quand le chic haut suppute une attitude couillue, quand “l’Intelligence“ (dirait le Caza) doit être le mot d’ordre, on ne se dandine, se tortille, se tourneboule pas pour une ridicule caresse. Inutile de tomber au ralenti, comme dans une mauvaise série B de Bollywood, inutile de gémir comme un papillon qui rencontre le printemps, inutile de laisser les copains à 14 pour une simulation. La simulation c’est pour un autre sport, n’est-ce pas Mathieu !!!
10-01-2010 : ST CYPRIEN-LATOUR / EVAAP
I
Entre une mandale qui a permis aux adversaires de se motiver
(merci Nono), des en-avants d’arrières à tire-larigot, des avants qui ne prenaient pas les devants, des pizzas distribuées comme des gadgets à la Foire du Trône (et pourtant Raymond n’était pas
aux offrandes de gonfle) le Goret d’Or de cette semaine est attribué à l’Equipe, pardon, à l’équipe toute entière.
13-12-2009 : EVAAP I /
VILLELONGUE
Si notre Titi national a prouvé qu’il
pouvait se recycler dans les jeux de mains, tels que le hand ou le rugby, la réciproque n’est pas vrai pour Juju. Jouer au pied requiert tout au long d’une partie clairvoyance et à-propos.
Clairvoyance, car lorsque l’on mène 1argement on ne rend pas les ballons à l’adversaire par un jeu au pied hasardeux afin de le faire briller ; l’adversaire pas le jeu. De même “à-propos“
car la dernière action n’exige nullement de tenter un coup de poker ; ça c’est pour Las Vegas pas pour Las Vila. A cinq mètres de la ligne, sauf si l’on s’appelle Blanco (et même lui aurait
laissé faire les Gros) la pelota se garde au chaud et ne se refroidit pas dans les airs tramontanés de la plaine.
Conclusion : Juju reste au rugby, oublie le foot.
29-11-2009 : EVAAP II / JO PRADES-VERNET CII
Supplique à Yann,
Quand t’es le plus beau au Tiki,
Tu dois être le plus beau au rugby,
Il n’est pas question de faire des chichis,
Et de ménager ta mise en plis,
Un adversaire qui arrive : tu l’aplatis.
Pas la peine de faire dans la dentelle,
On joue pas à touche aisselle,
On joue pas à la marelle,
On joue pas à la ritournelle,
On joue à démonte côtelettes.
Quand d’ennemis il y a un arrivage,
Plus question de repassage,
C’est au niveau des plaquages,
Que l’on montre son beau plumage.
29-11-2009 : EVAAP I / COLLIOURE XV
Etait-ce une répétition d’Holiday on Ice ? ou bien une imitation de course de garçons de café avec plateau garni de boissons
rafraîchissantes ?
Quoi qu’il en soit, Matthias nous a offert, en ce mois de « Mains » légendaires, une version très innovante de ballon porté, de conduite de balle. Balle légère, évaporée,
évanescente.
Tellement évanescente, qu’au premier rempart rencontré par hasard sur notre tapis vert d’ovalie, la balle s’est envolée, envolée, envolée vers le
camp de nos belligérants d’un jour.
Comme quoi ! Quand on dit que « Quelqu’un joue comme un pied » c’est une erreur : « Il joue comme une main de Matthias ».
22-11-2009
: CANOHES / EVAAP I
Certaines mauvaises langues oseraient une explication par une adaptation inopinée du jeu du carré en plein match de rugby, d’autres par des choix
d’option de jeu innovantes labellisés Domenech. Il n’en est rien. Si la gonfle a échoué dans des mains qui ne l’attendaient pas, c’était pour permettre à nos trois-quarts de mieux se faire
découper par nos gentils adversaires et faire travailler les Gros. En effet, abasourdi par le travail remarquable des avants lors des rucks, mêlées et autres mauls pénétrants, Quinquin a tout
fait pour les faire briller, oubliant toutefois qu'en pays d'ovalie les trois-quarts doivent davantage avancer que reculer.
Après les matchs de ce dimanche de multiples confidences sournoises ont essayé de m’induire en erreur en ce qui concerne la délivrance du Goret d’Or. « T’as vu les en-avant de Xavier !? » « T’as vu les passes de pizzaïolo de Raymond !? »
Je ne suis pas dupe ! En revanche je suis totalement anéanti par ces manquements à l’éthique. Chers joueurs, sachez que si
vous pouvez compter sur les 14 autres pendant le match, il n’en est pas de même lors de la troisième mi-temps !!!
15-11-2009 : EVAAP I / ESC-BAC
Unique dans les annales. Même le grand Jean-Michel Aguirre des mauvais jours n’a pas fait mieux : un
superbe coup de pied à suivre de Frédéric s'est transmué en une chandelle pleine de neige qui a permis à la défense de l’EVAAP d’attaquer… euh !!! Non, pardon… qui a permis à la défense de
l’EVAAP de se replacer. Il valait mieux : c’était dans nos 22. A moins que ce fut un coup de pied de recentrage ?
15-11-2009 : EVAAP II / CANOHES
Une action d’éclat, avec un essai entre les perches, ne saurait faire oublier une approximation de junior. Parti des 50 mètres, Philippe a débordé
tout le monde : ses Frays, ses adversaires et même l’arbitre de touche. Avait-il retrouvé ses jambes de vingt ans ? Les régimes multiples et variés alliés à des disettes mémorables
auraient-ils métamorphosé Casso dit l’Ancien ? Non. Philippe a débordé tout le monde en passant par la touche. Point de jambes vigoureuses donc, mais une myopie enfin
démasquée.
07-11-2009 : RIVESALTES / EVAAP
En cette semaine anniversaire de l’armistice, nous nous devons d’honorer la superbe performance de Bastien. Féru de chronologie, notre
troisième ligne d’un jour s’est évertué à accepter les raffuts, permettant ainsi l’abandon du combat de tranchées des premières lignes. Le front de l’EVAAP a ainsi été, à maintes
reprises, perforé d’offensives qui ont réjoui nos amis de Rivesaltes. Bravo pour cette belle leçon d’histoire mise en pratique et pour cette séance d’échauffement des muscles ischio-jambiers (ce
sont ceux qui servent à reculer).
18-10-2009
: EVAAP / PRATS
Superbe action de Quicot, passée presque inaperçue, mais
totalement révélatrice de son manque de concentration et de précision.
Lors de la petite soupe de phalanges du début du match, Quicot a asséné un violent coup de poing………………. à une mouche qui passait par là.
Emporté par son élan et déséquilibré par sa coupe de cheveux (qu’il n’a pas, espérons le, payée) Quicot finit allongé au milieu des pâquerettes.
Un superbe coup d’épée dans
l’eau qui permet à Stéphane, méritant désormais le surnom « Pelouse » d’être le premier à figurer au Panthéon du GORET D’OR.